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Gatineau Workshop August 2013

 

Les Grands & Petits Secrets du Monde des Galeries d’Art (Arts Visuels)

En collaboration avec Le Festival de l’Outaouais Emergents.Pour participer, contactez: http://www.festfoe.com/2013/le-festival/formation-aux-artistes-du-festival-de-l-outaouais-emergent/ 

Samedi 17 aout / 10am – 5pm. / rencontre a la Galerie La Petite Mort @ 10am
 
Guy Bérubé, directeur, La Petite Mort Gallery, Ottawa
 
Cet atelier s’adresse aux artistes visuels qui souhaitent percer le monde des galeries d’art. Le formateur abordera les trucs et astuces qu’il faut connaître pour maximiser ses chances d’être exposés dans les galeries d’arts. Il répondra également sans détour aux questions des participants sur le monde des galeries d’arts et de l’évaluation marchande des œuvres. Après le dîner, l’atelier se poursuivra par la visite de trois galeries à vocation très différentes, au cours de cette visite les participants pourront discuter avec différents galléristes et avoir d’autres points de vue sur les notions abordés en matinée.

BIO:

Avec un large éventail d’expérience, que ce soit avec divers artistes talentueux ou des expositions à travers le monde, Guy Bérubé s’intègre dans l’entreprise des arts, au cours des 25 dernières années, dans multiples villes incluant New York, Paris, San Francisco, et Ottawa. Pour cela, comme directeur de la galerie La Petite Mort, Guy Bérubé, donne la communauté canadienne des arts visuels un avantage qui non seulement donne l’art un véhicule pour son rôle culturel traditionnel, mais est reconnu pour donner l’art canadien un avantage qui contribue à sa reconnaissance sur la scène mondiale. Au cœur de cette contribution et cette passion, Guy Bérubé s’assure que l’art canadien reste et restera accessible & créatif.


La vision de Guy Bérubé pour La Petite Mort est véritablement – et peut-être étonnamment, étant donnée le nom de la galerie – une vision de l’éthique sociale. Il voit la lutte de l’artiste avec la conscience de soi à travers l’art visuel reflété sur le spectateur non comme bénéficiaire passif, mais en tant que participant actif dans son œuvre créatif. Une fonctionnalité de signature de la LPM est le sentiment de malaise la plupart des œuvres d’arts évoquent, qui, comme c’est le but de l’art subversif, reflète les projections personnelles du spectateur sur lui-même.Ce malaise est une part nécessaire pour l’esthétique et la sensibilité éthique de Bérubé. Il reconnaît le rôle de l’art dans l’aliénation et dans la transformation critique, pour le progrès culturel généralement provoqué par les idées invoquées par les limites de nos communautés. Les artistes de LPM représentent des sujets en marge de la société urbaine contemporaine canadienne – le sublime ainsi que les sans-abri et les schizophréniques – ne sont pas différent que l’art le plus courant depuis la période post Renaissance. Nous ne sommes pas ici pour choquer ni pour divertir, par contre, M. Bérubé comme propriétaire, directeur et curateur de la galerie LPM, est ici pour fournir un forum inclusif pour les artistes canadiens(iennes) d’aujourd’hui, incluant ceux et celles qui sont habituellement mis à l’écart par la société en général et ceux et celles qui sont tout simplement incapables de fonctionner normalement au sein de la société.

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